Née en 1960, Anne Brécart a passé son enfance et son adolescence à Zurich, suivant les écoles de langue allemande en étant d’une famille francophone. Elle fait des études de lettres allemandes en Suisse romande, et réside aujourd’hui à Genève. Elle est traductrice littéraire de l’allemand – elle a notamment traduit l’oeuvre de Gerhard Meier – et anime des ateliers d’écriture. Elle enseigne l’allemand et la philosophie au secondaire.
Elle a écrit cinq romans aux éditions Zoé, Les Années de verre (1997), Angle mort (2002, prix Découverte de la Fondation Schiller), Le Monde d’Archibald (2009), La Lenteur de l’aube (2012) et La femme provisoire (2015). Son fil rouge est la question de la mémoire et ce qui forge l’identité.